Le Parc des Monstres vu par Guido Piovene dans son “Voyage en Italie”

Par la suite vous pouvez lire un passage du “Voyage en Italie” écrit par Guido Piovene en 1953 à propos du Parc des Monstres de Bomarzo. Sa description rend avec force l’impression qu’on a en visitant le jardin maniériste du duc de Bomarzo, Pier Francesco Orsini.

“Bomarzo a la même couleur de la pierre volcanique locale, le village dominé par un Palais Orsini est construit au sommet d’une colline du genre qu’on voit d’habitude en Toscane, en Ombrie et au Latium. Le village surplombe une vallée agreste qui abouti à celle du Tibre. Au fond de la vallée un duc Orsini imagina le jardin des monstres, sorte de roman-feuilleton annexé à son palais. Le jardin est disparu, la vallée est redevenu sauvage, il ne reste que les monstres en abbandon qui viennent imprévus à la rencontre de ceux qui se promènent aux champs. On descend maintenant sur un sentier raide. En bas, devant nos yeux, une basilique pourvue de pronao, de coupole et des colonnes, apparaît entre les chataîniers, mais en s’y approchant on voit que c’est un faux temple, un temple de théâtre, même si comme dit-on, c’est Vignole qui la dessina. On poursuit et on pénètre sur une esplanade recouverte d’herbe. Un chien dresse ses trois têtes, un panthère se couche, un dragon furieux lutte avec un lion et une lionne, un éléphant porte sur son dos une tour et un soldat, il serre dans sa trompe un soldat tué, Hercule arrache son ennemi en deux, en le saisissant par les jambes écartées. Aux marges d’un pré une tête de monstre fait entrer par sa bouche dans une caverne, de l’autre côté du pré il y a une maison penchée. Si on s’introduit dans la forêt, entre des châtainiers, des noisetiers, des rochers, des ruisseaux et des petites précipices, ce sont une énorme tortue qui soutient une colonne sur son carapace, une baléne, un basilisque, une divinité barbu, qui nous conduisent devant une Arianne allongée. Des animaux, des dieux païens, des géants dont quelques uns rejoignent quatre mètres de hauteur, furent sculptés dans les blocs de roche du fond de la vallée. Quant’aux rochers, on pense qu’ils proviennent d’une pluie de météores noirâtres ou bien qu’ils soient un amas de rochers errants roulés de la colline en bas. En manque de documents précis qui puissent expliquer ce jardin plus asiatique qu’européen, on a pensé aux inspirations de missionnaires jésuites qui rentraient de l’Inde ou bien au travail de soldats turques prisonniers de guerre. Mais il suffit probablement de l’expliquer par le goût du Cinquecento en déclin, qui aime les géants, les monstres, les inventions scéniques qui préludent au Baroque, par sa volonté d’essayer á être tout, de se transformer en mille formes, en plantes, en animaux, en Occident et Orient et de se surprendre avec des masques et de déguisements. Je sais qu’on projète qu’aujourd’hui de rétablir le Jardin des Monstres, j’espère, sans qu’on enlève le meilleur de son aspect, celui de l’oeuvre qui veut faire amuser.”

Parc des Monstres de Bomarzo.

Parc des Monstres à Bomarzo. Proteus Glaucus.

Découvrir la “Tuscia” – Tour 4 jours

Le tour classique sur le territoire de la Province de Viterbo, appelée “Tuscia” à cause de ses origines étrusques offre un parcours fascinant à travers un patrimoine artistique et historique de grand intérêt, à partire de l’époque étrusque, le moyen âge et la seconde renaissance. Vous allez trouver de tout dans cette région d’Italie, des lacs, des sites archéologiques étrusques uniques au monde, des sites romains bien sur, des jardins et des palais entre les plus beaux d’Europe, le Bois Sacré de Vicino Orsini construit pendant la deuxième moitié du XVIème siècle – un parc unique dans l’histoire de l’architecture des jardins. Vous trouverez également des produits gastronomiques excellants sur le territoire, on peut inclure des étapes de dégustations sur commandes.

Le programme de visite qui suit peut-être modifié, contactez-nous pour d’autre info. Les visites guidées seront effectuées par des guides touristiques régulièrement autorisés: info@artinvistaguideviterbo.com   mob. + 39 3284248738

Le Bois Sacré, Bomarzo

Le Bois Sacré. Le géant.

1er jour le matin:visite du Bois Sacré à Bomarzo – mieux connu comme le Parc des Monstres, là la lumière des interprétations nouvelles.

Jardins et villas renaissances de Rome et alentour.

Villa Lante à Bagnaia, Fontaine des Mores.

Villa Lante à Bagnaia, la résidence d’été des évêques de Viterbo, construite sur commande du cardinal Giovanni Francesco Gambara, défenseur des doctrines catholiques après le Concile de Trente. Temps libre pour manger à Bagnaia, dans l’après-midi on va visiter le Palais Farnèse de Caprarola, un palais-forteresse exceptionnelle et villa avec des jardins dessinés par le Vignole pour le cardinal Alexandre Farnèse le jeune, neveu du Pape Paule III.

Palazzo Farnese Caprarola

La salle des Cartes du Monde au Palais Farnese de Caprarola

Tarquinia Nécropole

Tarquinia Nécropole

2ème jour: le matin visite des tombes peintes de la nécropole étrusque de Tarquinia et du musée qui présente une des collections d’antiquités étrusques d’Europe.Temps libre pour manger à Tarquinia.

Tuscania Basilica di San Pietro

Tuscania Basilica di San Pietro

Dans l’après-midi on ira à la découverte de Tuscania, fameuse pour ses deux basiliques au stile roman, Santa Maria Maggiore et San Pietro e du centre historique cerclé de murailles.

 

Viterbo Palazzo dei Papi

Viterbo Palazzo dei Papi

3ème jour: le matin visite de Viterbo, ville médiévale qui a conservée son aspect originel des XIème-XIIIème siècles jusqu’à nos jours, le parcours comprend le Palais des Prieur, la Cathédral de Saint Lorent, le Palais des Papes (du XIIIème siècle, visite externe, ce n’est que la Salle du conclave qui est visitable au payement et sur réservation), le Quartier des Pèlerins du XIIIème siècle.

Bolsena

Bolsena

Dans l’après-midi on rejoint Bolsena située au bord du lac d’origine volcanique le plus grand d’Europe. Visite de la petite ville, nommée du Miracle Eucaristique et de Sainte Cristine. Plusieurs options de visites, pour les détailles contactez-nous, svp. 

Civita di Bagnoregio

Civita di Bagnoregio

4ème jour le matin la visite de Civita di Bagnoregio nommée tristement le village qui meurt, qui va vous fasciner par ses panorama et son bourg médiéval.

Dans l’après-midi visite de Orvieto, située sur un plateau de tuf, d’autrefois habité par les étrusque, aujourd’hui célèbre pour son centre historique et surtout pour sa cathédrale gothique.

 

Orvieto

Orvieto

 

Grands jardins autour de Rome

Grands jardins autour de Rome

Itinéraire seule villas et palais dans le Latium du Nord

Guide Turistiche Palazzo Farnese Caprarola

Palazzo Farnese Caprarola, le Parc

 

On est vers le milieu du XVIème siècle à Rome, centre qui rayonne la manière de vivre exclusive de la Cour Pontificale. Tout autour du cœur du Christianisme, sur le territoire de l’État de l’Église on assiste à une prolifération étonnante de villas, on dirait que l’expression du pouvoir et de la richesse des papes, des cardinaux, des évêques se manifeste sous forme de jardins et des palais somptueux. On se trouve à présent dans la zone de Viterbo et les « Monti Cimini » dans un milieu naturel fascinant et paisible, parsemé pendant la seconde moitié du XVIème et le début du XVIIème par de villas merveilleuses. Des maintes constructions commissionnées aux meilleures architectes et artistes de l’époque, sont survécues quelques exemplaires précieux, comme Villa Lante à Bagnaia (Viterbo),  Palazzo Farnese (Palais Farnèse) à Caprarola, le Bois Sacré (Sacro Bosco ou Parco dei Mostri) à Bomarzo (Viterbo) qui est un jardin unique au monde et Palazzo Altieri à Oriolo Romano.

 Tour de grands jardins et de palais autours de Rome : Le Parc des Monstres de Bomarzo – Villa Lante à Bagnaia (Viterbo) – Palais Farnèse à Caprarola en une seule journée avec des guides conférenciers locaux autorisés à vous guider.

Info visites guidées, itinéraires, suggestions précieuses pour votre séjour:

info@artinvistaguideviterbo.com

Mobile: 328 4248738             Tél. +39 761 367089

Chaque jardin, villa et palais de l’époque était conçu comme un microcosme imbibé par la vision du monde de l’homme de la Renaissance et chaque microcosme particulier avait ses propres spécificités. Vision du monde, formes et symbolisme sont des aspects extrêmement intéressants que nous allons voire et commenter ensemble pendant les visites guidées. La visite de cette zone vous donne une bonne occasion de connaître des chefs d’œuvres de l’architecture surtout de la seconde renaissance et de la peinture renaissance/maniériste d’Italie.

 

Parco dei Mostri, Bomarzo (Viterbo)

Parc des Monstres, Viterbo, Le Dragon.

Le Parco dei Mostri (Parc des monstres) à Bomarzo (Viterbo) fut construit probablement  à la mi-XVIème siècle (l’indication conserant la période de la construction varie selon les recherches et les conclusions des historiens d’art, en tout cas on est entre la fin de 1549 et les deux décennies qui suivent), il constitue un exemplaire de jardin unique au monde, un complexe architectural composé par des statues pour la plupart géantes sculptées dans même le rocher volcanique d’une vallée boisée et par des architectures singulières. Les figures d’animaux et des personnages mythologiques sculptées par des artistes de premier plan, interprètent la vision culturelle exceptionnellement vaste de Pier Francesco Orsini (1523-1585), le commanditaire du parc. Originalité, jeu de proportions et des traits exagérés des visages sont mis au service d’une surprenante expressivité. Il existe plusieurs attributions quant aux architectes du Bois Sacré, – mieux connue comme le Parc des Monstres -, entre elles on cite le nom d’un très grand : celui de Michelange. Est-ce que c’est vrai ? A part le projet qui peut-être lui  fut confié par Vicino Orsini, sculpta-t-il des statues dans le parc ? Pendant la visite guidée on va voir ensemble tous les secrets du Bois Sacré, auteurs, iconographes, artistes y compris. Entre les sculptures et les architectures du Parc des Monstres vous trouverez : le Géant, l’Ogre, la Tortue géant, les Sphinx, le Basilisque, Pluton, Proserpine, Psyché, la Maison Penchée, le Théâtre, la Tombe étrusque.

Palazzo Farnese Caprarola

La salle des Cartes du Monde au Palais Farnese de Caprarola

Le Palazzo Farnese (Palais Farnèse 1550-1575) de Caprarola (Viterbo) porte le nom de la même  famille que le palais de Rome, une famille d’ancienne origine de la province de Viterbo, dont membres poursuivirent avec détermination et par tous les moyens leurs unique but, celui d’arriver dans les premiers rangs de la Cour Pontificale et dans les salons de l’aristocratie romaine. Ils y arrivèrent par les mariages et la carrière ecclésiastique, les deux point cardinaux sur lesquels se basait le pouvoir des familles puissantes. Le commanditaire du palais de Caprarola était le Cardinal Alessandro Farnese (1520-1589) qui  souhaitait compléter et même surpasser ce que au palais Farnèse de Rome fut commencé par son grand-père, le Pape Paul III Farnèse (1468-1549) : illustrer, à travers des œuvres grandioses, la richesse et le pouvoir obtenus par la famille. Le cardinal Alessandro Farnese appelé « le Grand Cardinal », était un mécénat d’art, humaniste et personnage-clé de la Cour Pontificale en matiére de diplomatie européenne. C’était en 1550 qu’il retourna dans la vieille forteresse – projetée par l’architecte militaire de la famille, Antonio da Sangallo le jeune -, à Caprarola, pour y trouver du réconfort après le terrible assassinat à Piacenza de son père, Pier Luigi (1547) et la mort du grand-père, le Pape Paul III (1549). C’était un retour aux racines et la redécouverte de la beauté de la zone qui était apte d’ailleurs à la chasse et à la pêche, activités préférées par les seigneurs en ces temps-là. Le Grand Cardinal décida d’ériger à la place de la forteresse pentagonale un palais encore plus beau que celui-ci de Rome, pour y recevoir des personnages importants et pour y passer l’été, loin de la chaleur étouffante de Rome. Antonio da Sangallo le jeune (1484-1546) étant mort, le cardinal confia le projet à Jacopo Barozzi da Vignola (1507-1573).  Le Vignole contrôlait personnellement les travaux sur le chantier, ce qui fait que chaque détail de l’édifice est extrêmement précis. Le cardinal commissionna aux meilleurs artistes et iconographes de son temps la réalisation des fresques, entre eux Taddeo et Federico Zuccari, Jacopo Zanguidi, Antonio Tempesta, Giovanni de Vecchi.  La visite guidée du palais inclue la Salle des Gardiens (l’entrée du palais), la Cour Circulaire développée sur deux niveaux par le Vignole et autour de laquelle tournent les appartements d’hiver et les appartements d’été, l’Escalier Royale qui tourne sur 30 paires de colonnes aux longs des parois couvertes de fresques, et les douze salles du Piano Nobile (premier étage) richement ornées de fresques, de stucs, de trompes l’œil. De la salle d’Hercule le regard embrasse la vue vers le Monte Soratte (un volcan éteint) et le paysage vers Rome, ainsi que sur la Via Dritta, la Voie Droite, la rue rectiligne qui lie le grand pentagone bâtie au sommet du bourg à la partie basse de celui-ci, construit après la réalisation du palais.

A travers les Jardins Bas qu’on va rejoindre par l’un des deux ponts situés au-dessus du fossé qui entoure le palais, on arrive aux Jardins Hauts où se trouve la Casina del Piacere complètement entourée par de jardins à l’italienne avec des labyrinthes, des sculptures de Pietro Bernini (1562- 1629), des fontaines spectaculaires avec des jeux d’eau. Les Jardins Hauts se virent modifiés par l’intervention de Giacomo del Duca (1520-1601) assistant apprécié par Michelange pendant de nombreux travaux effectués à Rome,  et ils furent achevés par Girolamo Rainaldi (1570-1655).

Villa Lante, Bagnaia (Viterbo)

Le dessein-fresque de Villa Lante sur une paroie du petit palais Gambara.

Villa Lante, Bagnaia (Viterbo) est un chef d’œuvre de la Renaissance Italienne, elle fut construite comme résidence d’été des évêques de Viterbo, après 1568 sur commission du cardinal Giovanni Francesco Gambara (1533-1587). Le cardinal qui soutenait les doctrines du Réforme Catholique, souhaita faire construire un jardin à l’italienne différente des autres. Il élabora une iconographie spécifique et confia le projet du jardin probablement à Jacopo Barozzi da Vignola (1507-1573). Le Vignole bouleversa littéralement les règles architectoniques habituelles de son temps, fournissant une solution originale aux idées de Gambara. Le parcours est à faire en montant et en descendant, à travers les quatre terrasses du jardin construites dans la pente d’une colline boisée. L’âme du jardin est l’eau qui descend d’une source naturelle du haut des « Monts Cimini » par la force de gravitation, en formant une sorte de « voie d’eau » scintillant qui est l’axe du jardin. La voie d’eau est animée par des jeux d’eau spectaculaires. Chaque terrasse constitue une étape pour pouvoir contempler le panorama du paysage environnant et des terrasses, dont la plus élaborée est celle du premier niveau, appelée le «Carré des Mores » avec la Fontaine des Mores de Jean de Boulogne (1529-1608). Les palais jumeaux, nommés « Palazzina Gambara » (1572-1578) et « Palazzina Montalto » (1611-1613) présentent des cycles de fresques remarquables par Girolamo Muziano, Raffaellino da Reggio, Giovanni Battista Lombardelli, Antonio Tempesta pour la Palazzina Gambara et de Agostino Tassi, Cavalier d’Arpino, Marzio e Antonio Ganassini pour la Palazzina Montalto. Actuellement seulement les deux loggias et les salles de la Chasse et de la Pêche de la palazzina Gambara sont régulièrement visitables, il existe cependant des périodes fixées de temps à autres par le Ministére des Biens et des Activités Culturels d’Italie, pour l’ouverture et la visite des petits palais. Les fontaines que vous allez voir en ordre de votre visite sont comme suit: la fontaine du Pégase, des Mores, des lampes, de la Table du cardinal, des Géants, des chaînes, des Dauphins, du Déluge.

 

Palais Altieri à Oriolo Romano

Ce peu connu mais sans doute l’un des palais de “ne pas perdre” de la zone des Mont Cimini fut érigé pendant la seconde moitié du XVIème siècle pour Giorgio III Santacroce le jeune, dans le bourg-cité fondée par lui-même sur le modèle de “la ville idéale” de la Renaissance. L’édifice revêt les formes d’une villa-forteresse, une typologie propre à la région du Latium. L’édifice fut modifié au cours des temps par les familles-propriétaires, surtout par les Altieri. Le dessein original du complexe architectural est de Ludovico Agostini, ce projet fut modifié par la suite des interventions postérieures par Carlo Fontana et Troiano Schiratti. Les fresques des Salles de Joseph, du Rêve, de Jacob, du prophète Élisée, de David, de Josué sont attribuées au peintre tard-maniériste Giovanni Baglione. Dans la Salle des Belles et des Ancêtres vous pouvez voir toute une série de peintures à toiles, de portraits qui appartenaient aux Altieri. La Salle à manger est décorée par Giuseppe Barberi, architecte néoclassique d’école de Rome.

Dans la remarquable Gallerie des Papes hébergée dans une aile de 70 mètres long du palais, vous pouvez admirer dans une enfilade suggestive de salles, une collection de peintures à huile sur toile de tous les Papes qui succédérent à Saint Pierre jusqu’à Benoît XVI. La collection des effigies des Pontifs fut voulu par le cardinal Paluzzo Albertoni Altieri (1623-1698) qui commença à commissionner les portraits aux artistes dont les noms restent inconnus pour le moment, dans la seconde moitié du XVIIème siècle. Grande partie des 241 portraits commissionnés par le cardinal Paluzzo Altieri furent tirés de sources iconographiques antiques. La collection revêt une importance particulière car elle est l’unique exitante intégrale de ce genre. Chaque effigie est complète de l’armoirie heraldique-nobiliaire et chaque portrait des premiers 166 Papes présente une cartouche avec un résumé historique, des caractéristiques du Pape représenté, ainsì que des événements historiques marquants de son pontificat.  Ces résumés constituent d’ailleurs un matériau intéréssant du pensée historique dominant pendant la période en question. Suivant les portraits successifs à ceux-ci des 166 Papes, au lieu du sommaire historique relatif vous y allez trouver un motto en latin.